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Livre
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Au nom de ma fille
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Bamberski André
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2016 |
Temoignage |
08-09-2016 |
8 |
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Livre
1
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Avec toutes mes sympathies
Les mots des autres m'ont nourrie, portée, infusé leur énergie et leurs émotions. Jusqu'à la mort de mon frère, le 14 octobre 2015 à Montréal, je ne voyais pas la nécessité d'écrire. Le suicide d'Alex m'a transpercée de chagrin, m'a mise aussi dans une colère folle. Parce qu'un suicide, c'est la double peine, la violence de la disparition génère un silence gœné qui prend toute la place, empœchant mœme dese souvenir des jours heureux.Moi, je ne voulais pas me taire.Alex était un œtre flamboyant, il a eu une existence belle, pleine, passionnante, aimante et aimée. Il s'est battu contre la mélancolie, elle a gagné. Raconter son courage, dire le bonheur que j'ai eu de l'avoir comme frère, m'a semblé vital. Je ne voulais ni faire mon deuil ni céder à la désolation. Je désirais inventer une manière joyeuse d'œtre triste.Les morts peuvent nous rendre plus libres, plus vivants. » O. L.
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Lamberterie Olivia De
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2018 |
Temoignage |
08-10-2018 |
4 |
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Livre
0
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Berezina
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Tesson Sylvain
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2015 |
Temoignage |
04-03-2015 |
3 |
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Livre
1
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Derniers feux sur sunset
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O'brien Edna
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2016 |
Temoignage |
08-09-2016 |
6 |
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Livre
1
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Des objets de rencontre
Une saison chez emmaüs
Lise Benincà a passé plusieurs mois au sein d'Emmaüs Défi, rue Riquet à Paris. Elle a eu l'envie de donner voix à ces objets patinés, dépareillés, parfois ébréchés mais toujours singuliers, qui sont passés de main en main avant d'arriver chez Emmaüs, cette association, créée par l'abbé Pierre, qui les revend à des prix modiques. Puis la présence des hommes et des femmes, salariés en réinsertion professionnelle chez Emmaüs, aux parcours chaotiques, eux-mêmes en transit, eux-mêmes patinés par la vie, s'est imposée entre les lignes qu'elle écrivait autour des objets - fragiles échos d'existences passées et inconnues. Alors elle s'est mise à parler d'eux, aussi. De leurs trajectoires, de leurs espoirs, de leur détresse et de leur volonté. Ils sont ainsi devenus les personnages émouvants d'un récit qui retrace, à travers le prisme des choses, l'ambiance et la dynamique émanant de ce lieu étonnant, le métier de ceux que l'on appelle les «travailleurs sociaux», ainsi que la multitude des situations qui peuvent conduire à la rue. C'est au pouvoir des mots et de la mémoire que l'auteur réfléchit, citant Perec et Giono, et plus généralement à celui des livres, «prêts à tout pour aider le monde à tenir debout».
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Benincà Lise
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2014 |
Temoignage |
24-10-2014 |
2 |
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Livre
1
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Deux petits pas sur le sable mouillé
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Julliand Delphine
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2011 |
Temoignage |
28-09-2011 |
3 |
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Livre
1
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En france
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Aubenas Florence
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2014 |
Temoignage |
24-10-2014 |
4 |
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Livre
1
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Et ils eurent beaucoup d'enfants..
Marielle Blanchier a douze enfants. Lorsqu?elle s?est mariée, cette chimiste de formation n?imaginait pas se retrouver à la tête d?une telle maisonnée. La vie lui a joué ce joli tour d?amour. Elle nous raconte les grands bonheurs et les petits tracas de son quotidien : rentrée des classes, fête des Mères, anniversaires, lessives... Les dimensions extraordinaires de cette famille transforment la vie ordinaire en autant d?aventures..
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2013 |
Temoignage |
29-11-2013 |
3 |
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Livre
1
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Hôpital, si les gens savaient
L'enquête édifiante d'une infirmière qui brise l'omerta. " Si les gens savaient... " Combien de fois ai-je entendu cette formule dans la bouche des soignantes?Si les gens savaient qu'à l'hôpital, la sécurité des malades n'est pas assurée.Si les gens savaient que la vie des patients est entre les mains d'infirmières en sous-effectif.Si les gens savaient que la qualité des soins décline de jour en jour et que des drames sont passés sous silence.Si les gens savaient que l'ensemble de notre système de santé est sur une ligne de crête, au bord du gouffre.L'hôpital et ses soignantes sont à la limite de l'effondrement. Et pas seulement à cause de la Covid, les raisons sont plus profondes.
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Sahara Nora
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2021 |
Temoignage |
26-09-2022 |
2 |
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Livre
1
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Immortelle randonnée
Compostelle malgré moi
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Rufin Jean-Christophe
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2013 |
Temoignage |
29-11-2013 |
4 |
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Livre
1
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Je voulais juste vivre
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Park Yeonmi
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2016 |
Temoignage |
03-06-2016 |
5 |
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Livre
1
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Je vous aimais, terriblement
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Gavron Jeremy
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2017 |
Temoignage |
23-02-2017 |
5 |
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Livre
1
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Journal d'un vampire en pyjama
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Malzieu Mathias
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2016 |
Temoignage |
03-06-2016 |
5 |
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Livre
1
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Journal de mes oreilles
Récit
< En ce moment, c'est calme dans mes oreilles. Le silence du confinement leur sied bien. Pas de sollicitation ou sursollicitation. Pas de tentative d'attraper des mots au milieu d'un groupe ici et là. Pas de constant brouhaha de la rue, de la circulation, pas de peur de ne pas entendre la prochaine phrase. Pas de lecture labiale non plus. Et pas d'appareils. > Le jour de ses vingt-cinq ans, les oreilles de Zoé font leur première crise, que la jeune comédienne assimile à une otite. Très vite, les maux s'accentuent, les acouphènes arrivent. Et le diagnostic tombe : otospongiose bilatérale cochléaire. Comme Beethoven. C'est le début d'une bataille et d'une acceptation. Avec grâce, joie, lyrisme, Zoé raconte, cherche à guérir, et s'interroge.
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Besmond de Senneville Zoé
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2021 |
Temoignage |
30-05-2024 |
2 |
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Livre
1
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L'Empereur, c'est moi
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Horiot Hugo
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2013 |
Temoignage |
25-03-2024 |
5 |
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Livre
1
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L'Herbe bleue
Journal d'une jeune fille de 15 ans
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2003 |
Temoignage |
11-12-2019 |
2 |
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Livre
1
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L'Inconnu de la poste
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Aubenas Florence
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2021 |
Temoignage |
13-04-2021 |
5 |
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Livre
1
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La Mère morte
Une mère, âgée mais indépendante, se trompe de jour, de lieu de rendez-vous avec ses filles, achète des objets superflus et coûteux, oublie dans le coffre de sa voiture les fruits de mer bretons, et se lève la nuit, croyant partir pour une destination inconnue.Cela pourrait être drôle, si ce n'était une maladie mentale due à l'âge, et surtout si cette femme si confuse n'était pas la romancière Benoîte Groult, la mère de l'auteure de ce livre d'une force rare. Benoîte Groult, luttant, jouant avec sa propre fin, mais refusant avec rage de céder à la fatalité et à la vieillesse, elle qui a été une militante de l'association « Pour le droit de mourir dans la dignité ». Voici la femme intime, plus que la femme publique, ici telle qu'on ne la connaît pas, et qui écrivait : « Dans la vie, deux mondes se côtoient : celui des gens qui vont vivre et celui des gens qui vont mourir. Ils se croisent sans se voir. »Benoîte s'éteint en juin 2016 à Hyères, à 96 ans. Écrivaine comblée, mère et grand-mère heureuse, femme de combats remportés. Mais ce que ce livre raconte, ce n'est pas juste le deuil hélas ! prévisible d'une mère admirée et aimée, mais un double deuil : voici le terrible sens du titre, La mère morte. « Maman, mon dernier rempart contre la mort. Bientôt, ce sera moi le rempart pour ma fille ».Le 1er avril 2016, la fille de Blandine de Caunes, Violette, 36 ans, meurt dans un banal accident de voiture, laissant orpheline sa fille Zélie. L'ordre du monde est renversé : Benoîte s'accroche à la vie, Blandine sombre, Violette n'est plus.De Benoîte Groult, sa fille a hérité l'humour et la force vitale. Ce livre n'est pas triste, au contraire. C'est une réconciliation entre trois générations de femme qui partagent le « même amour forcené pour la vie, toujours plus forte que tout », le credo de Benoîte qu'elle a transmis à sa fille.
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Caunes Blandine De
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2020 |
Temoignage |
13-02-2020 |
8 |
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Livre
1
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La Petite fille sur la banquise
« J’ai neuf ans. Un dimanche de mai, je rentre seule de la fête de l’école, un monsieur me suit. Un jour blanc.Après, la confusion.Année après année, avancer dans la nuit.Quand on n’a pas les mots, on se tait, on s’enferme, on s’éteint, alors les mots, je les ai cherchés. Longtemps. Et de mots en mots, je me suis mise à écrire. Je suis partie du dimanche de mai et j’ai traversé mon passé, j’ai confronté les faits, et phrase après phrase, j’ai épuisé la violence à force de la nommer, de la délimiter, de la donner à voir et à comprendre.Page après page, je suis revenue à la vie. »A. B. Quand ses parents la trouvent en pleurs, mutique, Adélaïde ignore ce qui lui est arrivé. Ils l’emmènent au commissariat. Elle grandit sans rien laisser paraître, adolescente puis jeune femme enjouée. Des années de souffrance, de solitude, de combat.Vingt ans après, elle reçoit un appel de la brigade des mineurs. Une enquêtrice a rouvert l’affaire dite de l’électricien, classée, et l’ADN désigne un cambrioleur bien connu des services de police. On lui attribue 72 victimes mineures de 1983 à 2003, plus les centaines de petites filles qui n’ont pas pu déposer plainte.Au printemps 2016, au Palais de justice de Paris, au côté de 18 autres femmes, Adélaïde affronte le violeur en série qui a détruit sa vie. Avec une distance, une maturité et une finesse d’écriture saisissantes, Adélaïde Bon retrace un parcours terrifiant, et pourtant trop commun. Une lecture cruciale.
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Bon Adelaïde
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2018 |
Temoignage |
05-04-2018 |
4 |
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Livre
1
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La Reparation
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Schneck Colombe
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2012 |
Temoignage |
28-12-2012 |
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